Stèle Cariven 16 août 2024

Pour les 80 ans de la Libération de Brive par ses propres moyens,  monsieur Lascaux, maire d’Allassac, a organisé comme les autres années la cérémonie commémorative afin de ne pas oublier le sacrifice du lieutenant FTPF Jean Cariven, devant la « stèle Cariven » installée à proximité des lieux du drame. En plus de rappeler l’historique de la libération de Brive par les maquisards de l’AS et des FTPF, en particulier avec la 235ème Compagnie FTPF et la 23- 33eme cie FTPF à laquelle appartenait le lieutenant Cariven, compagnies qui bloquaient le pont de la Bouvie et le pont Cardinal, il a tenu cette année à mettre tous les résistants de cette dernière compagnie, originaires d’Allassac à l’honneur en demandant à un membre de leurs familles de les représenter, tenant la photo de leur père (grand-père) soldat.

Quelques photos faite par’une personne présente à la cérémonie:

 

A droite de certains des enfants de Résistants, le maire d’Allassac écouté avec beaucoup d’attention.

 

 

La fille de Jean Cariven, Françoise David, nous parle de ce drame douloureux qui l’a privée d’un papa dès sa tendre enfance.

 

 

Vous pouvez cliquer aussi sur les anciens articles à retrouver sur la page d’accueil en cliquant sur « archives » et en recherchant les articles publiés en août les années passées (par exemple: pour celui des 75 ans de la libération de Brive,cliquez ici)

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4 août 1944, le Vigeant, Vienne

En traversant le bourg de Le Vigeant, dans la Vienne, non loin de l’Isle Jourdain, votre attention se porte sur un emplacement aménagé à côté du cimetière de ce village où se trouve un mémorial sur lequel est écrit « Ici sont tombés nos martyrs ». Une colonne de SS de la Wehmacht, accompagnée de miliciens, est venue incendier le bourg du Vigeant l’après-midi du 4 août 1944.

Ci-dessous une photo prise de la plaque explicative installée à proximité:

Accrochée au mur, une plaque avec les noms de 40 victimes de ce massacre:

Dans la colonne de gauche, nous y voyons le nom d’une petite fille de 14 mois, Renée Pérot. De quel « crime » pouvait elle être coupable? Dans celle de droite, nous ne pouvons que constater que le premier FFI n’avait que 18 ans et le plus vieux 26.

A la sortie du bourg, en direction de l’Isle Jourdain, vous passez aussi à côté d’une stèle portant l’inscription « Ici sont morts pour la france 5 FFI ».

Pour en savoir plus sur ce massacre et l’incendie du village, voir des photos prises peu après sur le site de la mairie du Vigeant. Pour en savoir plus sur les victimes de ces atrocités, voir le site du Maitron.

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Robert VALERIE

Nous tenons à porter à votre attention la disparition d’un des derniers Résistants corréziens, Robert Valérie.

Ses obsèques civiles ont eu lieu au cimetière de Donzenac le mercredi 12 juin 2024. Il était dans sa 102 ème année d’une vie bien remplie et dynamique.

Lors de la permission accordée aux jeunes hommes de son camp de Chantiers de jeunesse, il décide de ne pas y retourner et se retrouve donc « hors la loi ». Il part se réfugier chez sa soeur à Saint Pardoux l’Ortigier (19) et, avec d’autres jeunes de la commune, il se rapproche d’un groupe de maquis qui ont organisé un camp à Moulzat, commune de Chanteix.

Il a, à ce titre, participé aux actions du deuxième bataillon FTPF en Corrèze. (voir livre d’Elie Dupuy, « Le parcours d’un « terroriste » ordinaire » et le livre « Maquis de Corrèze »)

Jusqu’au bout, il a prôné l’intérêt du devoir de mémoire envers les jeunes et assistait en particulier aux cérémonies commémoratives à la stèle de Moulzat, l’oeil vif et attentif. La preuve en photos!

Robert Valérie, (102 ans) invité de choix, lors de l‘AG de mars 2024 à Saint-Mexant au côté de Bernard Delaunay, président ANACR 19, Patrick Bordas, maire de Saint-Mexant, et les trois co-présidents du comité ANACR local.

Robert Valérie, le 27 mai 2024, lors de la cérémonie à la stèle de Moulzat. (photos S. M.)

Un film a été fait sur la vie de Résistant de Robert Valérie par Odile et Bernard Delaunay, Anacr corrèze.

 

 

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Orgnac 1944/ 2024

Rappelons-nous les événements qui se sont déroulés en juin 1944 sur la commune d’Orgnac sur Vézère: cliquer ici 

CEREMONIE COMMEMORATIVE POUR LE 80ème ANNIVERSAIRE DU 18 JUIN 1944

Place de l’Eglise

Mardi 18 juin 2024

à 10 heures

 Organisée par la Municipalité d’ORGNAC-SUR-VEZERE et le Comité  ANACR d’Objat.

Un hommage sera rendu aux stèles de la Chapoulie et de la Rivière.

 A l’issue de la cérémonie un repas est organisé à la salle Polyvalente « Paul Comby »

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Il y a 80 ans, avril 1944 dans le Vaysse

La traditionnelle cérémonie commémorative du premier dimanche d’avril a bien eu lieu à la Garédie, commune de Vignols, le 7 avril 2014 grâce à la mairie de Vignols, maître d’oeuvre, avec la participation active du comité ANACR secteur d’Objat, en présence de nombreux élus, maires, conseillers départementaux, sénateur et de monsieur le sous-préfet de Brive. Devant la stèle de la Résistance, voulue et créée par les Anciens Résistants du secteur, après le dépot de la gerbe offerte par notre comité, madame Jarrige, trésorière du comité anacr Objat a lu la trop longue liste des patriotes liés à ce coin du Vaysse, morts pour la France (liste ici). Monsieur Ponthier, président du comité anacr secteur d’Objat, a remis en mémoire à la nombreuse assistance, les faits qui ont eu lieu début 1944 sur cette commune et les communes voisines d’Orgnac, de Voutezac et de Saint-Solve. Enfin, Madame Souzy, maire de Vignols, a fait un discours très écouté.

Notons aussi que le chant des partisans a été jouée à la cornemuse, chantée par la chorale de Vignols qui a aussi interprété la Marseillaise.

Merci aux 12 porte-drapeaux toujours fidèles à ce rendez-vous.

 

 

 

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2014; 2024

En octobre 2014, l’ANACR Corrèze a eu le privilège de participer activement, salle des trois provinces à Brive, au congrès national de l’ANACR.

A cette occasion, une carte postale a été éditée. Voir ci-dessous:

On constate que le congrès a commencé le 10/10/2014 à 9h, tampon de la Poste faisant foi! 

Sur cette carte postale, on voit Germain Auboiroux et Edmond Michelet, pionniers de la Résistance dès 1940, Résistants- Déportés. Le timbre rappelle le souvenir des 99 pendus de Tulle le 9 juin 1944.

Pour en savoir plus sur la tenue du congrès de 2014, chercher le terme « archives » à droite de la page d’accueil et chercher 10, 11, 12 octobre 2014 pour voir quelques photos de ces trois jours intenses et enrichissants.

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communiqué du bureau national de l’ANACR

Pour clore l’année 2023, nous vous mettons ci-dessous le communiqué du bureau  national de l’ANACR, intitulé : POUR UNE PAIX JUSTE AU PROCHE-ORIENT                                                                                                                                                                      » Le 7 octobre, la meurtrière attaque menée par le Hamas contre des camps militaires et des kibboutz du sud d’Israël, y tuant des militaires et y assassinant – parfois de manière particulièrement barbare – des centaines de civils, hommes, femmes, enfants et vieillards, et en prenant en nombre des otages, a initié le dernier épisode d’un conflit vieux de plusieurs décennies.

Il y a 75 ans, dans la Palestine peuplée selon les appellations d’alors de 66% d’Arabes et de 34 % de Juifs, l’ONU décida le 29 novembre 1947 d’y créer un Etat juif (sur 47% du territoire), un Etat arabe (45,53%) et une zone internationale autour de Jérusalem. Les organisations juives acceptèrent le plan et proclamèrent la naissance de l’Etat d’Israël le 14 mai 1948, les Palestiniens et les Pays arabes le refusèrent et entrèrent en guerre contre Israël ; lequel, sa supériorité militaire tactique et technologique lui ayant donné la victoire, prit le contrôle de… 77% du territoire de la Palestine ! L’Etat arabe palestinien ne vit pas le jour…

Plusieurs centaines de milliers de Palestiniens furent chassés alors de leurs terres et de leurs maisons, notamment par des massacres et la crainte qu’ils inspirèrent, et allèrent s’entasser dans des camps de réfugiés à Gaza, en Cisjordanie, en Jordanie, au Liban, en Syrie. Où viendront les rejoindre en 1967 ceux qui, parallèlement à celle du Sinaï égyptien jusqu’aux rives du canal de Suez, et à celle du Golan syrien, fuiront, à l’issue de la «Guerre des Six jours», l’occupation de la Cisjordanie et de Gaza par les forces israéliennes, militairement victorieuses ; comme elles le furent toujours depuis 1948 et jusqu’à aujourd’hui dans tous les conflits opposant Israël aux Pays arabes et aux organisations nationalistes palestiniennes.

Comme cela avait déjà été le cas en 1956, quand, se joignant aux agresseurs britanniques et français contre l’Egypte venant de nationaliser le canal de Suez, Tsahal, l’Armée d’Israël, en avait à travers le Sinaï atteint les rives, ne stoppant sa participation à l’agression que sous la pression conjointe américano-soviétique. Comme ce sera le cas à nouveau en octobre 1973, à l’issue de la Guerre dite «du Kippour» après qu’une contre-offensive ayant permis à nouveau à Tsahal de franchir le canal de Suez, celle-ci ne dut s’arrêter que sous la pression américaine, à… 101km de la capitale égyptienne, le Caire ! Sur le Golan, l’arrêt de la contre-offensive de Tsahal, à… 40 km de Damas, la capitale syrienne, fut imposé par le Conseil de sécurité de l’ONU.

Et, en juin 1982, dans la continuité de son opération «Paix en Galilée» l’ayant conduit à pénétrer au sud du Liban, Tsahal poursuivit son invasion, entrant dans Beyrouth, la capitale libanaise, y couvrant un massacre par ses alliés des milices chrétiennes de milliers de réfugiés palestiniens dans les Camps de Sabra et Chatila ; Tsahal ne rapatriera en Israël l’essentiel de ses troupes qu’en 1984, certaines restant d’ailleurs au Liban-sud jusqu’en 2000.

Depuis 75 ans en effet, au-delà de diatribes hystériques heureusement impuissantes émanant de Palestiniens ayant appelé à «jeter les Juifs à la mer», diatribes que les dirigeants israéliens et leurs soutiens y compris médiatiques ne manquent jamais de rappeler pour justifier les opérations militaires menées par Israël, le problème n’a jamais été celui – plus que virtuel, inatteignable au vu des rapports de force et des réalités stratégiques – de la destruction d’Israël. Mais au contraire, celui qui est récurrent et très concret, est la non-construction de l’Etat palestinien pourtant prévu par l’ONU, que la colonisation israélienne de toute la Cisjordanie, qui se poursuit – certains ambitionnant de pousser les Palestiniens au-delà du Jourdain ou dans le Sinaï – empêche d’être mis en place. Ce qui s’oppose à la solution à deux Etats, Israël et Palestine, et ne peut que générer à terme de nouveaux conflits, de nouveaux drames comme celui que nous connaissons actuellement.

Notre condamnation des crimes barbares commis dans le sud d’Israël le 7 octobre 2023 sur des civils israéliens par des terroristes du Hamas en motocyclettes, parapentes et 4x4Toyota, qui firent plus de 1200 victimes, ainsi que des tirs à l’aveugle de roquettes sur les villes israéliennes, est totale. Comme est totale notre condamnation des crimes de masse commis depuis près de deux mois par les unités régulières de Tsahal dotées de blindés lourds Merkava, de canons automoteurs de 155 à 203mm, d’avions F15 et F16, de corvettes et frégates Saar, qui ont déjà broyé indistinctement sous leurs bombes, missiles et obus plusieurs dizaines de milliers de civils Palestiniens de la Bande de Gaza, hommes, femmes, vieillards, enfants et bébés, tués ou gravement blessés, en ravageant des dizaines de milliers d’habitations civiles, d’équipements sanitaires, scolaires, culturels, énergétiques, d’approvisionnement alimentaire…                                                                      

Comme nous condamnons aussi les crimes commis contre les civils palestiniens de Cisjordanie depuis plusieurs décennies, et jusqu’à aujourd’hui de manière renforcée à la faveur des événements de Gaza, par Tsahal et ses supplétifs colons, lesquels – fut-ce en utilisant leurs propres enfants comme «boucliers humains» pour couvrir leur prédation colonisatrice – ne sauraient prétendre par là-même au statut de «civils» dans les territoires occupés illégalement par Israël en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, afin de continuer à y voler les maisons et les terres des Palestiniens, en en faisant de nouveaux réfugiés ; ce qui, si cela se poursuivait, ne pourra que susciter à terme une nouvelle «intifada».

Notre pays, la France, patrie des Droits de l’homme, doit tout faire pour arrêter le massacre des populations civiles, pour que les criminels de guerre, qu’ils soient palestiniens ou israéliens, soient arrêtés et déférés devant la Justice internationale compétente, afin d’y être sanctionnés de façon conséquente. Ce qui implique aussi que notre pays ne saurait s’aligner de manière unilatérale comme trop souvent sur les discours médiatiquement hégémoniques mettant en avant le seul droit d’Israël à se défendre pour assurer son existence nationale, en occultant pour ce faire le droit des Palestiniens à faire de même pour assurer la leur dans un Etat dont la co-légitimité a été, conjointement à celle d’Israël, affirmée par l’ONU dès 1947 et dont la concrétisation reste à imposer ; ce à quoi notre pays, membre permanent du Conseil de sécurité, se doit de contribuer à ce qu’elle le soit au plus tôt. Ce qui implique en premier lieu un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, permettant de plus le ravitaillement alimentaire et sanitaire d’urgence de sa population martyre. 

Réaffirmons en cette fin 2023 qu’une Paix – juste – au Proche-Orient ne peut, pour être durable, que passer par la création de l’Etat Palestinien à côté de celui d’Israël, les frontières des deux Etats étant reconnues et garanties internationalement. Elle est une exigence des peuples !

L’ANACR Le 7 décembre 2023″

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AG de l’ANACR 19

L’assemblée départementale de l’ANACR 19 aura lieu le dimanche 29 octobre 2023 à Ussel, salle multimodale, boulevard de la Jaloustre à partir de 9h15.

.A la fin des travaux, il y aura comme toujours une cérémonie patriotique qui se fera Place Voltaire, face à la stèle de la Résistance. 

Un monument fut érigé place Voltaire « A la mémoire des 47 martyrs tombés ici le 10 juin 1944 et à tous les résistants morts pour la France et le Liberté ». ( voir sur le site du Maitron, un article relatant les événements dramatiques du 10 juin 1944 renseigné par Dominique Tantin). Ci-dessous la liste des 47 morts  FTPF

ANTIGNAC Germain
BASCOULERGUE Jean
BOBACK Henri
BOCHET Francis
BORIE Marcel
BOURNAS Jean
BOYER Clément
BRUN Jean-Baptiste
CAPE Jean
CHASSAGNE Michel
CISTERNE Auguste
CIVADE André
COGNASSE Gaston
COMBE Louis
CONSTANTIN Marcel
CONSTANTIN René
COULAUD Antonin
DARDENNE Eugène
DELAGE Gabriel
DUPUY Pierre
ESCURAT Robert
FARGE René
FRAYSSE Henri
GERENOWICZ ou GERENOVIEZ Édouard
GIRON Jean
GUYOT René
KUSNIACK Stanislas
LAGUERITE Clément
LAGUERITE Paul
LECOUTY Albert
LÉONARD Jean
LEPAGE Robert
LLEVOT Félix, Iréné, Antonin
MAZET Pierre
MOISE Jacques
MOMBELET Joseph
OLLIER André
PEYRICOT Jean
PEYRICOT Pierre
PIQUEPAILLE Henri
POUQUET Louis
REBEYROUX René
RICHE Raymond
ROUSSEAU Robert
SAUVIAT Paul
VENNAT Marcel
VERGNE Jean 

EN CLIQUANT SUR UN NOM DE LA LISTE, VOUS ETES REDIRIGES SUR LE SITE DU MAITRON. 

 

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Monique Orlianges-Touron

Monique Touron est décédée le 23 mai 2023. Elle a été trésorière du comité ANACR-secteur d’Objat depuis le décès de Baptiste Touron, son mari et de Fifi Sage, trésorier du comité depuis sa création jusqu’en 2020,.

Le comité a tellement de souvenirs intenses partagés avec elle.

Elle se dévouait énormément pour notre association. Un exemple: elle a offert  à notre comité, afin de nous aider à organiser une exposition, un tableau peint par elle sur un coin du Vaysse, ce bois où s’était réfugié le groupe FTPF Jean Robert , Lorsque nous avions recueilli le témoignage, en 2002, de Baptiste, alias Michel dans la Résistance, elle avait complété celui-ci avec une anecdote touchante (cliquer ici et ici pour retrouver des extraits de ce témoignage mis sur notre site).

Elle nous avait aussi permis de mettre sur ce site des photos prises en mai 1945 à Objat pour fêter la fin de la seconde guerre mondiale.

Lors du décès d’Yvette David-Charbonnel, alias Annie, elle nous avait transmis le message lu par elle au cimetière racontant des faits de Résistance. (cliquer ici pour le redécouvrir).

Elle avait écrit une nouvelle racontant la vie d’une jeune fille à Paris entre 1939 et 1945 et nous en avait fourni un exemplaire pour publier sur ce site. (Vous pouvez trouver ce texte  en cliquant sur « archives » à droite de la page d’accueil puis en sélectionnant le mois de décembre 2020.)

Elle était de toutes les cérémonies patriotiques de notre secteur: à La Garédie, au Monument aux Morts d’Objat…

Monique, tu resteras dans nos mémoires au côté de Baptiste, vaillant Résistant Corrézien, ton compagnon tant regretté.

 

 

 

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Lucien Dupont

Le comité ANACR-secteur d’Objat a reçu une invitation de la part de la mairie de Tulle afin de rendre hommage à Lucien Dupont,  figure de la Résistance, à l’occasion des cérémonies organisées le 27 mai, journée nationale de la Résistance.  

A 9h30, avenue Ventadour, à Tulle, ville de naissance de Lucien Dupont, aura lieu l’inauguration du « square Lucien Dupont « 

Les adhérents du comité ANACR-secteur d’Objat se font un devoir d’être présents pour honorer la mémoire d’un Résistant « Mort pour la France », fusillé le le 26 février 1943 à Suresnes. (aller sur le site du Maitron: https://fusilles-40-44.maitron.fr>spip>article 23392 ). En effet, si Lucien est né à Tulle, il a été élevé à Saint-Solve dans sa famille maternelle. C’est là où il a débuté sa Résistance et là où il fut arrêté la première fois le 17 septembre 1939!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La première rencontre entre la fille de Lucien Dupont, Christine Dupont-Lauthelier et les Anciens Résistants du comité ANACR-secteur d’Objat s’est faite en 2010, lors de la conférence donnée par celle-ci à l’invitation de la mairie de St-Solve où elle a présenté une brochure « Un regard sur Lucien Dupont ».  Le bureau du comité ANACR-secteur d’Objat a à son tour invité madame Lauthelier en 2011 à Voutezac.

Voici la dédicace faite au secrétaire du comité ANACR en septembre 2010: 

Sur l’esplanade située entre le cimetière et l’ancienne école primaire du village, une plaque en sa mémoire a été installée à Saint-Solve le 27 mai 2022, en présence de la fille et des petits enfants de Lucien Dupont (voir photo ci-dessus).

En plus du site du Maitron, donné plus haut, nous vous conseillons d’aller voir 2 autres sites bien connus:

  • https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr, choisir 2eme guerre mondiale puis taper le nom de Lucien Dupont.
  • http:www.mont-valerien.fr>lettresdefusillés>dupont

et de vous procurer la brochure abondamment illustrée de documents uniques « Lucien Dupont, 21 ans, la trop courte vie d’un homme en Résistance, militant communiste, fusillé par les Nazis le 26 février 1943, au Mont Valérien » éditée par l’Amicale des vétérans du PCF de la Côte d’Or écrite avec la collaboration de madame Dupont-Lauthelier, de lire le livre d’Albert Ouzoulias « Les fils de la nuit » où il parle d’actions de Résistance de Lucien Dupont (pages 280/281)…

 

 

 

 

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